Le mois d’août à Montréal a enregistré des températures record cette année. Pour ajouter à cela, la fumée des feux de forêt dans l’ouest canadien nous a enveloppés dans son linceul étouffant. La lumière du jour a pris des teintes orangées, rappelant les filtres utilisés en cinéma pour donner un sentiment post-apocalyptique, à la Mad Max. Mais nous ne vivons pas dans un film. C’est notre nouvelle réalité, alors que le capitalisme ravage la planète, accélérant les changements climatiques. Des millions de personnes dans le sud global risquent de devenir des réfugiés climatiques dans les prochaines années. Le capitalisme engendre des crises de surproduction alors qu’il laisse la vaste majorité de la population mondiale dans la pauvreté et la précarité. Le capitalisme doit être aboli et remplacé par un mode de production rationnel, qui répondra aux besoins de base de toute l’humanité et nous permettra de renverser les dommages faits à l’environnement. Ce système, c’est le socialisme. Si nous continuons sur la voie du capitalisme, nous risquons réellement de nous retrouver dans un monde barbare, à la Mad Max. Personnellement, même si la lumière orangée est très belle, je rêve d’un monde meilleur et c’est pourquoi j’aide à construire le parti révolutionnaire qui pourra montrer la voie aux travailleurs du monde lorsqu’ils se soulèveront pour arracher des griffes des milliardaires les grands leviers de l’économie et mettre en marche la transformation de la société.
Mad Max ou socialisme : il faut choisir
Entre chaleur étouffante, ciel orangé et crises climatiques, le capitalisme nous entraîne vers un monde à la Mad Max — seule une révolution socialiste peut offrir une issue.
- lun. 18 août 2025