La classe dirigeante du Canada pousse un soupir de soulagement. Leur comparse de l’élite, le banquier Mark Carney, a remporté les élections. Cependant, les festivités seront de courte durée.

L’énorme capital accumulé par la principale entreprise coloniale du Canada partira exploiter un marché plus rentable, sans se soucier de ses travailleurs ni de toute soi-disant « fierté nationale ».

Pour des millions de personnes, le NPD n’est qu’une pâle copie du Parti libéral.

« Une nouvelle crise est à nos portes. »

La position privilégiée dont le Canada a bénéficié sur l’échiquier mondial est menacée, ce qui aura de profondes répercussions sur la politique, l’économie et la lutte des classes.

Le fait d’adhérer officiellement à la défense antimissile balistique constitue un énorme revirement en matière de politique étrangère.

Il serait difficile de trouver quelqu’un en politique qui soit un représentant plus direct de la classe dirigeante que Mark Carney.

Ce n’est pas notre guerre.

Les tarifs de Trump représentent une menace existentielle pour le mouvement ouvrier. Nous devons nous battre avec les méthodes de la lutte des classes pour défendre nos emplois.

L’idée que les États-Unis puissent annexer le Canada peut sembler absurde au premier abord. Mais il y a une certaine logique derrière les menaces de Trump.